Bienvenue sur mon site perso

Un peu d'indulgence, C'est encore en construction

Vous y trouverez tout plein de trucs surtout en rapport avec ma passion pour les autos

Mon CV automobilistique :

La toute première : 205 XS

La première GTI : 309 GTI16

La plus violente : La Vmax

 

Achetée à 50 000 kms, elle en totalisait 170 000 quand je l’ai vendue en 2004. Malgré sa cinquième qui sautait et une petite fuite d’eau, elle refusait obstinément de mourir. N’en ayant plus l’utilité, je m’en suis séparé pour 500 EUR et 15 jours plus tard, son nouveau propriétaire l’avait pliée sur un arbre : A vous dégoûter de prendre soin d’une voiture…

 

Celle là, achetée à 29 000kms en 1994, m'a accompagné durant 70 000 kms et a même été équipée d'un kit d'injection de nitro qui portait la puissance à 240 CH. Ensuite, c'est ma petite soeur qui en as hérité pour transporter mon neveu! Cette sportive est donc aussi une authentique familiale. Quand j'ai l'occasion de reprendre son volant, je reste encore étonné par la précision de son chassis et le plaisir qu'elle procure. Elle a été  depuis revendue à un ami qui l'a restaurée en profondeur. C'est le même que celui qui a racheté mon ancienne ZX 16V  

 

La Vmax a été achetée pour m'affranchir des problèmes de circulation parisiens. Elle m'a ensuite servi pour la balade et aller travailler quand il faisait beau. Elle était un peu caractérielle avec son couple de tracteur, mais c'est pour ça que je l'aimais. Elle totalisait moins de 15 000 kms lors de sa vente en février 2007 et chaque virage ou freinage était une victoire de la volonté sur les lois de la gravité. Malheureusement, je ne l'utilisais plus. C'est un biker Harleyiste qui l'a récupérée

La première vraie voiture de sport : la Porsche 911 Turbo 2

Celle là je l'ai achetée à mon arrivée sur Grenoble le 11 septembre 2001 avec 82 000 kms: il me fallait une voiture qui puisse avaler des kilomètres tout en me procurant du plaisir sans me fatiguer. Après quelques mois de réflexion, mon choix s'est porté sur une 911 pour la ligne (rêve de gosse) et la fiabilité et sur la turbo pour les formes sensuelles et la violence de ses 320 pur sangs transmis aux seules roues arrières et générés par une unique turbine. Biensur, je n'ai pas résisté à la tentation de l'améliorer et elle a terminé suite à une bête mais conséquente panne moteur avec une préparation à 436 CH et 4 bilsteins pour une tenue de route en rapport. Le jour où je suis allé la chercher après toutes ces modifs (été 2003), je suis tombé sur celle qui allait être sa remplaçante, j'ai nommé la 993 GT2 . Depuis, elle a été pliée par son nouveau proprio sur un poteau EDF et repeinte en rouge ...

J'ai toujours rêvé de la 993 GT2, mais elle était vraiment inabordable car trop rare. Puis un jour je tombe chez mon garagiste sur cette copie sur base de 993 RS, avec son moteur neuf, sa préparation 530 CH, le minimum de confort avec la clim et les vitres électriques, quelques modifications sympa comme le volant 3 branches ou l'arceau et surtout, sa carte grise conforme à ce qu'elle était vraiment. La voiture est annoncée à 20 secondes pour le 1000 mètres qui se termine à 275 km/h, vitesse maxi de 345 km/h, mais je dois avouer que je n'ai jamais vérifié tout ça. Elle marche déja bien trop pour ce que je sais conduire. Elle est presque inutilisable en ville du fait de son manque de souplesse, de son coté rase moquette, de son manque de visibilité, de sa largeur et de ses performances trop décalées par rapport au reste de la circulation. Elle m'a servi donc principalement pour des sorties circuit ou des ouvertures de rallye comme le Saint Marcelin entre 2004 et 2006. Les accélérations et les freinages sont tout bonnement hallucinants bien que l'auto manque d'agilité sur petites routes où elle se fait facilement reprendre par les Caterham par exemple. Elle a été revendue en 2007 avec 73 000 kms dont 23 000 de bonheur pour moi à son volant.

Un jour mon ami Denis me dit qu'il va vendre sa ZX 16V 2.0i car elle commence à avoir des problèmes et qu'il n'a plus le temps de s'en occuper. Le prix est environ la moitié de la cote, mais l'ampleur des travaux de remise en état et les frais de réimport depuis la Suisse n'étaient pas connus. Je décide donc de l'acheter pour remplacer la 205. Après 3 mois de recherches, il s'avère que tous les maux étaient dus à des saletés dans le circuit d'injection arrivées par une durite de mise à l'air libre du réservoir cassée. C'est une excellente voiture de tous les jours, coupleuse, avec un excellent chassis, très confortable et assez logeable. En revanche, le moteur et ses 155 CH annoncés n'aime pas du tout prendre des tours comme tous les moteurs catalysés de première génération de chez PSA. Achetée avec 118 000, je l'ai utilisée depuis ses 140 000 kms à mi temps avec un ami : Je l'avais pour les mois d'hiver, quand je ne sortais pas ma 944 turbo cabrio . Depuis, elle a été rachetée par le même ami qui a mon ex 309 GTI16 . Il l'a revendue fin 2007 à son collocataire qui en est très content.

La GT2 s'avérant difficilement utilisable au quotidien et ayant gouté aux joies du cabrio, je souhaitais remplacer la ZX par une voiture plus fun, plus moderne et surtout avec toit amovible. Je me suis donc mis en tête d'acheter une 307 CC. Formidable voiture sur le plan fonctionnel mais qui après essai s'avère notoirement sous motorisée même en version 180 CH et le tout pour un tarif prohibitif. Faisant part de mon problème à mon ami RV, celui ci me dit que pour la moitié du prix, il a sa 944 dans son garage qui ne lui sert plus à grand chose, donc si ça pouvait dépanner, il était prêt à s'en séparer. La voiture avait une multitude de petits défauts pas bien graves mais qui faisaient désordre. Je l'ai remise petit à petit en état car il s'agissait d'un modèle rare (500 exemplaires dans le monde, dont 19 en France), sympa avec le coté cabrio et puissant puisqu'avec son kit guruRacing, elle délivrait environ 300 CH pour une consommation de 10 à 13 litres et avec tout le confort moderne. Après avoir envisagé de la remplacer par une Corvette ZR1 puis une Corvette 82 car non homologuable en Suisse, elle a finalement été revendue en février 2007 à 168 000 kms et coule des jours heureux en Bretagne.

Pas grand chose à dire sur cette auto : New Beetle TDI 110 CH achetée par madame avant que je ne la rencontre. Un déplacoir honorable, peu frayeux avec un joli design. Mais bon, dès le leasing terminée, nous l'avons revendue pour la remplacer par une auto plus intéressante.

Comme j'ai tendance à accumuler des véhicules sportifs, une auto avec un peu de place et plus sage faisait cruellement défaut. Après avoir consulté les cotes, je découvre que les BMW 750 premiers modèles ont une cote ridiculement basse. Je finis donc par acheter au Luxembourg une 750 iL de 1988 avec 221 000 kms. Ces autos sont les versions longues (limousines), ont un amortissement piloté, une boite auto intelligente, un V12 de 300 CH et du cuir et du bois à ne plus savoir qu'en faire le tout pour la cote d'une petite GTI. Mon exemplaire a le même propriétaire depuis 1992 et a toujours été entretenue à la concession. Une petite remise en état a été nécessaire au moment de l'achat pour règler de petits défauts pas bien graves mais désagréables. J'ai hésité un instant avec une Jaguar XJ12 de 82 qui est plus prestigieuse mais netttement moins aboutie tecnhiquement et à la finition en retrait contrairement à ce que l'on pourrait penser. Elle termine aujourd'hui sa vie au fond d'un champ chez un ami qui en récupèrera peut être un jour le V12.

Habitant dans un chalet, il nous fallait une auto qui puisse y monter quelles que soient les conditions. Nous recherchions une RS2 mais n'en avons pas trouvé. Nous avons donc finalement opté pour une Audi 100 S4 avec le V8 de 4.2 et ses 280 CH ainsi que le système quattro qui grimpe presque aux arbres. Malheureusement, l'auto s'est avérée avoir un controle technique de complaisance et avait notamment de gros soucis de freins. Un procès est toujours en cours pour annuler la vente et obtenir un dédomagement. Sinon, en dehors de la consommation, c'était une bonne auto avec un bruit magnifique tout en étant bien pratique pour les déménagements.

La S4 ayant des soucis, l'ami webmaster du club RS2.net que j'avais contacté à l'époque m'apprend qu'il vend son auto. Elle était parfaite avec en plus une petite préparation à 364 CH au banc, 600Mn de couple, un bruit magnifique grace à sa ligne d'échappement inox et sa soupape HKS qui respire à chaque passage de rapport. Biensur, c'est le nodèle avec le joli volant 3 branches, elle a en option les gros freins de la 993 GT2, un chassis optimisé Komi et H&R et venait avec toutes les pièces d'origine ainsi qu'un jeu de jantes 993 turbo pour l'été. Achetée à 192 000 kms, elle en a aujourd'hui 20 000 de plus et se porte comme un charme avec sa préparation fiable depuis plus de 100 000 kms et son embrayage toujours d'origine. L'auto va être vendue à 235 000 kms car remplacée par sa grande soeur la RS4.

Madame ayant des envies d'apprendre à conduire correctement, il nous fallait un véhicule formateur, peu couteux en cas de casse, avec une bonne sécurité et tout de même sympathique à conduire.Le choix s'est donc porté sur une 205 GTI avec moteur de 405 MI16 allégé et préparé + remis à neuf avec les modifications qui vont bien. Le swap a été fait très proprement. L'auto a aussi été vidée et repeinte à l'intérieur. Elle avait des harnais, baquets, un arceau intégral, le chassis GRN PTS asphalte et des freins de 306 S16 BV6. Par la suite, je lui ai monté une boite courte concue par mes soins et réalisée par l'ami qui possède mes 2 autres ex GTI qui a le bon gout d'être mécano. Elle a parfaitement rempli son office et a même pu tater du circuit sur glace sans avoir à rougir. Elle a été revendue à un ami ayant une 944 turbo coupé qui voulait lui aussi une auto pour se faire la main et un peu de circuit. Cette auto était d'une agilité pour le moins étonnante, bien plus performante que la M3 et voire même dans le serré que des sportives plus lourdes.

Une fois la 205 vendue, il nous fallait une auto pour laisser sur les parkings et accessoirement s'amuser un peu. Ayant eu l'occasion de convoyer une M3 E30 pour un ami, j'ai pu comprendre pourquoi, malgré des performances plus vraiment d'actualité, cette auto était intéressante. En effet, c'est sont chassis qui est vraiment agréable car très équilibré. Le modèle acheté avait recu un peu de tunning que j'ai enlevé le plus possible en procédant par échange sur Ebay. C'est un modèle 215CH (les tout derniers) avec le toit ouvrant, des jantes dial elysée en 16 et une ligne homologuée look DTM. Son moteur a été refait à 189 000 kms, elle en totalise aujourd'hui 220 000. Il a été envisagé à un moment de la revendre afin de bénéficier de l'envolée de la cote. La candidate au remplacement était une Corvette Z06. L'affaire était presque faite mais le vendeur de la Corvette n'a pas voulu s'aligner sur le marché, le deal ne s'est donc pas fait. Mais quelques mois plus tard, c'est finalement une 911 3l2 qui a pointé le bout de son nez et la M3 a été revendue à 234 000 kms au propriétaire de mon ex 309 GTI16 et de mon ex ZX 16v.

La 944 vendue, il nous manquait un cabrio. Ayant toujours été fan de Caterham, j'ai commencé à chercher pour tomber sur un modèle n'ayant existé qu'en Suisse : la super Seven 1.6 turbo. Nous avons acheté un modèle de 89, première main, 66 000 kms, garanti et révisé par l'importateur. Elle a un look old school avec les grandes ailes, des jantes prisonnier, des sièges cuir noir et est vraiment très propre. Elle est vert BRG et alu. Coté technique, il y a les gros freins AP racing, les amortisseurs spax. Elle a recu la double triangulation AV apparue pourtant bien plus tard. Coté moteur, le Ford qui fait en théorie 135 CH a été préparé ici à 227 CH au banc lors du dernier passage. Pour ce faire, il y a un échangeur eau air pour refroidir l'air d'admission, un haut moteur changé, un pont court et renforcé, un embrayage hydraulique,etc... Cette auto est ce que je connais de mieux pour les virages et son accélération se situe qqpart entre la 965 turbo 3.3 et la GT2. Le comble, c'est même étrangement confortable. En revanche, pas du tout agréable sur autoroute ou les pieds du conducteurs à 10 cms du turbo ont vite fait de rotir. Bref, une auto plaisir de très haut niveau. En revanche, la fiabilité est celle d'une anglaise : jamais rien de grave, mais toujours un petit truc qui ne va pas : une fois un joint de pompe à essence qui se désagrège et vient boucher le filtre, une autre un faux contact quelque part dans l'allumage. Elle a été finalement reprise par Kumschick en échange d'une Super Seven compétition décrite plus bas. Le jour de son départ, elle n'a jamais voulu démarrer (faut dire qu'une anglaise et -8°C de température, ca fait difficilement bon ménage). Du coup, c'est le TCS qui l'a rammenée pour son dernier voyage.

La GT2 ayant été vendue et ne pouvant être remplacée simplement en Suisse, le problème de la succession a été résolu en le coupant en 2 : la solution a donc été de prendre à la place une GT permettant des voyages d'une certaine durée avec un certain confort ainsi que de quoi transporter des bagages et de coupler ceci avec une hyper sportive radicale, légère et puissante. La Cat 1.6 turbo a donc subi le même sort que la GT2 = revente et ces 2 autos ont été remplacées par une Ferrari 355 GTS dont nous parlerons plus tard ainsi qu'une Caterham super seven compétition. Cette dernière est un modèle spécifique à la Suisse, construit à 25 exemplaires par Freddy Kumschick, l'importateur local. La base est une Caterham HPC. Le chassis a été modifié de manière à en accroitre la rigidité et prendre en compte également des améliorations d'ergonomie. Le moteur est un Vauxhall 2l mais en version turbo (celui de l'Opel Calibra contemporaine). Il a été assez profondément modifié aux spécifications rallye soit 303CH, 41mKg de couple, carter sec, etc... La boite de vitesse est une 6 rapports. Elle a été renforcée selon les spécifications de Freddy, renforts qui seront presque tous repris par Caterham 10 ans plus tard sur la boite des CSR. Les rapports sont adaptés avec une première extrèmement longue puis des rapports rapporchés permettant une vitesse théorique de 251 km/h. Avec une aérodynamique de fer à repasser, pour obtenir cette prouesse, le dessous de l'auto recoit un fond plat ainsi qu'un extracteur d'air à l'arrière. La voiture est allégée : elle ne contient ainsi pas de chauffage ni d'habillage de chassis intérieur (les tubes sont apparents). Les jantes sont en magnésium. Le poids est de 580 kgs environ. Pour autant, le modèle est très bien fini et pensé. Le compartiment moteur est compréhensible, les boutons placés de manière bien plus logique, les sièges en net progrès par rapport à la 1.6. Les commandes sont d'une précision redoutable qui rappelle la GT2. L'embrayage en métal fritté couplé à une première très longue (elle prend 100 km/h) et à un moteur puissant sont un cocktail difficile à doser au démarrage. Le 0-100 est abattu en 3.4s et les performances sont d'une violence difficilement descriptible. C'est la numero 4/25, présente au salon de Genève et visible dans le livre "Magnificent Seven" de Chris Rees. Elle totalise 36 000 kms à ce jour et a été à un moment propriété du président de la FIFA. Petit détail sympathique, il y a une petit clef qui permet de limiter la puissance à 200 CH pour les jours de pluie. Bref, un magnifique jouet pour grand enfant. Par contre petit regret : la nouvelle Cat est en ailes cycles et pas longues : plus efficace aérodynamiquement, plus léger, mais moins de charme à mon gout.

La seconde auto servant à remplacer la GT2 est une Ferrari 355 GTS. Pourquoi ce modèle? Tout simplement car c'est à mon sens la dernière Ferrari avec de la sensualité qui donne envie de la carresser. Les suivantes sont certes très performantes mais tiennent plus du pittbull que du lévrier Afghan. Par ailleurs, elle bénéficie de la fiabilité des Ferrari modernes tout en étant déja raisonnablement performante. La challenge a été envisagée à un moment mais elle apporte peu en performance (gain de poids faible, moteur identique), coute bien plus cher et perd le coté GT à cause de l'arceau, l'intérieur dépouillé et l'absence de toit targa. J'ai opté pour une auto de 1995 : une des 2 années avec le moteur à double débimètre, plus fiable, puissant et simple à réparer mais également nettement plus glouton. La mélodie distilée par le moteur est tout simplement incroyable, le chassis s'apparente à un gros kart et la prise en main est aussi simple qu'un vélo. La performance est correcte mais pas non plus incroyable. Mais dans ces autos, le plaisir est ailleurs, dans l'ambiance : habitacle hyper spacieux, jolis compteurs, grille en H avec le levier qui tinte à chaque passage de rapport, le design Italien. C'est également une grande première pour moi avec les Italiennes : ce sera un bon test pour voir si les couts d'exploitation arrivent à rester raisonnables.

Madame n'ayant pas une culture automobile de longue date, les succès de la M3E30 en rallye et championnat DTM ne lui évoquaient rien. Pour elle cette auto était surtout un truc cubique des années 80, presque tunnée avec mauvais gout et qui en plus glisse exagérément de l'arrière dans les ronds-point sur le mouillé. Elle voulait donc son fantasme depuis toujours à savoir sa petite 911. Comme il s'agissait d'une auto à usage quotidien, nous avons dirigé nos recherches vers une 3.2 coupé. Après bien des recherches et une qui nous est passé sous le nez à 15 minutes près alors que nous avions fait le déplacement à Zürich, nous sommes finalement tombés par hasard sur un cabriolet de 84, turbolook, excellent état, même propriétaire depuis 17 ans. Le souci était le coté toit souple qui s'accomode assez mal d'un usage quotidien quand on habite dans une station de ski. Mais l'auto était belle et bien plus saine que tout ce que nous avions pu voir jusque là et surtout à un tarif suffisamment raisonnable pour que nous puissions envisager l'achat d'un couteux hard top pour l'hiver. Le plus de cette auto est incontestablement le look large : j'ai un gros problème d'addiction avec ça, mes 3 911 étaient toutes larges. Son poids est très contenu car une des toutes premières : seulement 1160 kgs annoncés et à peine 50 de plus en vrai. Par ailleurs, très important pour la Suisse, les modèles 84 bénéficiaient du moteur non catalysé, non encapsulé pour le bruit et sans la pompe à air ni les règlages spécifiques qui officiellement ne changeaient rien mais en pratique rendaient l'auto moins performante. L'intérieur a été entièrement refait avec un cuir de très bonne qualité. Le coté bleu ciel est dérangeant sur les photos mais ne pose aucun souci en réalité. L'auto avait 171 000 kms lors de l'achat, entretient suivi chez Sarteur depuis une éternité. Elle a passé son inspection comme une lettre à la poste. Elle était livrée avec un jeu de Fuchs en 16 et je lui ai pris un jeu de BBS aussi en 16 pour les roues d'hiver. Elle est vraiment étonnante à conduire : seuls les phares et essuies-glace sont d'un autre age mais sinon, comportement et accélérations sont vraiment très agréables sans parler de la possibilité de rouler cheveux au vent.

Après avoir dit à tout le monde que jamais je ne vendrai ma RS2 qui était l'auto parfaite pour une utilisation sport/neige/transport de plus de 2 personnes sur longue distance, voila que Christophe, l'ancien propriétaire de la RS2, me contacte pour me dire qu'il envisage de vendre sa RS4. Je l'avais déja essayée un an auparavant, mais pas du tout dans l'optique de l'acheter, juste pour voir ce que ca pouvait donner une fois mise en configuration maxi à savoir environ 540 CH, le chassis optionnel quattro, le GPS nouvelle génération, les baquets de la nouvelle RS4, etc... Cette auto n'apporte rien qui ne soit indispensable et sont prix est en rapport avec l'auto (donc élevé) mais les progrès en confort (roulage, sono bose, GPS, isolation phonique) et en facilité d'utilisation (ESP pour les jours ou on ne veut pas se poser de questions, auto passant l'inspection telle quelle) ont eu raison de ma volonté : il fallait l'acheter en remplacement de la RS2. J'aurais d'ailleurs bien gardé la RS2 mais les frais de plaque sont trop important pour une auto qui n'aurait plus été utilisée régulièrement.

Pour la suite, il faudra surtout commencer par faire de la place à la maison car malgré l'installation d'un lift qui permet de superposer 2 autos, cela n'est plus suffisant pour stocker une auto de plus. Les candidates possibles seraient une traction 15 6 cylindres d'avant guerre avec la male plate, une DS, une berlinette Alpine, une Corvette Z06 ou 82, une 911 turbo voire Ruf et bien d'autres encore sont toujours dans mes rêves...

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